Sunday, June 28, 2015

Weltweit grösste Flüchtlingsgruppe ist die Gruppe der Palästinenser Ken Jebsen interviewt Martin Leujeune auf der neuen Gaza Flotille

Die weltweit grösste Flüchtlingsgruppe ist die Gruppe der Palästinenser. Dieses Volk ist seit der Staatsgründung Israels 1948 auf der Flucht. Es handelt sich um mindestens sechs Millionen Menschen. Wer es nach Europa oder die USA geschafft hat, kann nur von Glück sprechen. Er konnte der israelischen Besatzungsmacht entkommen. 
Wer es als Bürger Palästinas dann nur bis in den Gaza-Streifen schaffte hat ein Problem. Er darf das Land nicht verlassen und muss sich bei den immer w...
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Die weltweit grösste Flüchtlingsgruppe ist die Gruppe der Palästinenser. Dieses Volk ist seit der Staatsgründung Israels 1948 auf der Flucht. Es handelt sich...
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Michel Raimbaud, ancien ambassadeur : « La crise ukrainienne n’aurait pas eu lieu s’il n’y avait pas eu l’appui sans faille de la Russie au gouvernement syrien. »

Michel_Raimbaud_texteMichel Raimbaud, ancien ambassadeur de France en Mauritanie, au Soudan, et au Zimbabwe, vient de publier un ouvrage intitulé «Tempête sur le Grand Moyen-Orient». Il rappelle que le Grand Moyen-Orient s’étend désormais de l’Atlantique à l’Indonésie, sur plus de 50 degrés de latitude. En raison de sa position stratégique aux confins de l’Eurasie autant que par sa richesse en gaz et pétrole, cette immense «ceinture verte» islamique détient un potentiel de puissance considérable et constitue un enjeu majeur. De son devenir, mis en question par la tempête actuelle, dépend en bonne partie la physionomie de notre monde de demain : sera-t-il unipolaire, aux ordres de l’Occident comme il l’a été depuis la fin de la guerre froide, ou multipolaire comme le préconisent les émergents ? Michel Raimbaud était l’invité de Yannick Urrien jeudi 11 juin 2015 sur Kernews.
«Tempête sur le Grand Moyen-Orient» de Michel Raimbaud est publié aux Éditions Ellipses.
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Kernews : En résumé, vous expliquez que tout ce que nous vivons depuis des années, avec la montée de l’islamisme radical, a été étudié et préparé. On a le sentiment que ce chaos permanent à nos portes est volontaire…
Michel Raimbaud : C’est exact. J’ai intitulé ce livre « Tempête sur le Grand Moyen-Orient » parce que cela ne concerne pas seulement le Moyen-Orient géographique, avec la Syrie, la Palestine, le Liban, Israël, la Jordanie, l’Irak et vaguement l’Égypte, mais il s’agit du Grand Moyen-Orient au sens donné par les néoconservateurs américains, ces stratèges un peu foldingues, et George Bush même. Le Grand Moyen-Orient est extensible au gré des pulsions américaines, parce que ce sont les Américains qui l’ont modelé pour lui donner l’extension qu’il a maintenant. Cela va de l’Atlantique, la Mauritanie, le Sénégal et le Maroc, jusqu’à l’Asie orientale et même jusqu’à la Chine et l’Indonésie. Et cela va même jusqu’au cœur de l’Europe avec les Balkans… Le Grand Moyen-Orient est vraiment une région très extensible. Ensuite, il y a eu cette expression occidentale : les printemps arabes. Ce ne sont pas les Arabes qui l’ont inventée, ni les musulmans d’ailleurs. Évidemment, ce ne sont pas des révolutions, ni des printemps, puisque tout cela amène la mort, la destruction et le chaos. Cela ne commence pas en 2011, avec la Tunisie, mais en 1991, avec la chute de l’Union soviétique. Peu importe le regard que l’on porte sur le bilan de l’Union soviétique sur le plan national : sur le plan international, il me paraît incontestable que c’est un grand bouleversement géopolitique puisque l’on passe d’un monde bipolaire, celui de la guerre froide, à, non pas un monde multipolaire, mais un monde unipolaire, celui de l’Ouest, l’Occident, qui va prétendre incarner la communauté internationale à lui seul. Les autres pays, les anciens pays communistes, les non-alignés, les pays du Sud étant priés finalement de se soumettre ou de se démettre, sous peine d’être qualifiés d’États voyous ou d’États parias !
Vous auriez pu commencer un peu plus tôt, avec l’affaire de la guerre du Golfe…
Oui, cela correspond à la guerre du Golfe, mais j’ai pris 1991 pour parler de la période 1991 – 2001. En 1989, vous avez la chute du mur de Berlin qui marque le début de la dissolution du pacte de Varsovie et la réunification de l’Allemagne. En 1990, il y a le conflit du Golfe qui est évidemment lié à la chute de l’Union soviétique. Il n’y aurait jamais eu de première guerre d’Irak cinq ans plus tôt. Mais en 1990, l’URSS existe encore, or elle est trop occupée à s’auto-dissoudre. Gorbatchev échoue dans ses réformes, il fait concession sur concession pour se faire bien voir de l’Occident, il est très célèbre en bradant son pays… Saddam Hussein connaissait finalement assez mal le contexte international et je pense qu’il n’a pas réalisé qu’il n’y avait plus le vieil équilibre qui faisait que l’Occident n’aurait jamais pu se permettre d’agression, parce qu’aussitôt l’URSS serait intervenue.
Livre RaimbaudPeut-être avait-il réalisé cela, mais il y a eu l’accord tacite donné par April Glaspie, ambassadrice des États-Unis à Bagdad, pour qu’il envahisse le Koweït…
Elle a eu un langage suffisamment ambigu… Peut-être qu’elle s’est plantée aussi. Elle était sans doute de bonne foi, on n’a jamais plus entendu parler de sa carrière après… Elle lui a dit : «Cela ne nous concerne pas, on ne se mêlera pas des affaires arabes », ce qui a été pris pour argent comptant par Saddam Hussein. C’était peut-être une parole malheureuse…
Mais cette parole a des conséquences aujourd’hui, avec le terrorisme que l’on connaît…
C’est certain… Al-Qaida existait déjà à cette époque, mais sans emploi si je puis dire… Al-Qaida a été créée par les Américains, les Saoudiens et les Pakistanais pour lutter contre les Soviétiques en Afghanistan. En 1989, les Soviétiques se retirent et Al-Qaida se retrouve sans emploi. Ben Laden offre alors ses services aux Saoudiens qui n’en veulent pas, il va se réfugier au Soudan et Al-Qaida devient une organisation terroriste internationale. Évidemment, il n’y a jamais eu de collaboration entre Al-Qaida et Saddam Hussein. Toute cette affaire fut une grande escroquerie. Évidemment, toute cette affaire commence à cette époque. Ensuite, on assiste au démantèlement de la Yougoslavie pour réduire la zone d’influence russe. Il y a aussi le Soudan que l’on va commencer à harceler pour obtenir sa partition 15 ans plus tard. La Somalie va se retrouver réduite en trois ou quatre États avec des opérations à coups de sacs de riz… La deuxième guerre du Golfe aboutira au démantèlement de l’Irak. Maintenant, il y a l’offensive contre la Syrie qui est présentée comme un État dangereux. C’est finalement après les attentats de 2001 que George Bush met en œuvre sa doctrine du Grand Moyen-Orient auquel il faut imposer la démocratie manu militari. On va multiplier les déclarations à Washington en annonçant clairement la couleur, avec une liste de pays à démolir, à déconstruire plus exactement, afin de les mettre hors d’état de nuire aux intérêts américains.
Finalement, vu des États-Unis, le Grand Moyen-Orient, c’est en résumé tout ce qui ne ressort pas du droit anglo-saxon ou tous ceux qui ne signeront pas le traité TAFTA !
C’est une zone traditionnelle définie par tous les géopoliticiens anglo-saxons comme étant une zone qui ceinture le cœur de l’humanité, face à la Russie, la Chine et toutes leurs dépendances. La ceinture verte arabo-musulmane est extensible. Au départ, elle ne comprend que le Moyen-Orient, y compris la Turquie et l’Iran. Après, cela va s’étendre partout. C’est quelque chose de prodigieux maintenant.
Vous expliquez à quel point tout cela a été monté à coups d’opérations de désinformation. La dernière en date concerne la Libye : on aurait caché le fait que Kadhafi était en négociation pour partir et on a préféré l’abattre immédiatement…
Il y a les événements de Tunisie, d’Égypte, puis la Libye… Même quand on ne voit pas clairement l’intervention américaine, elle existe quand même. Les printemps arabes sont un événement, peut-être un peu plus synchronisé que le reste, mais c’est la suite de ce qui se passe depuis 1990. Déjà, il y a toutes les listes qui circulent au Pentagone, dans les cercles de la CIA, au sein du gouvernement américain et dans tous les services secrets occidentaux pour dire quels sont les pays sur lesquels il y a des entreprises de déstabilisation. Je précise que ces documents sont du domaine public maintenant. Ce n’est pas un complot ou une conspiration. C’est une stratégie américaine, c’est différent…
Vous parlez beaucoup du rôle de la Russie. Que pensez-vous des discours de certains généraux de l’OTAN sur l’hypothèse d’une guerre avec la Russie ?
Il y a eu des révolutions orange en Ukraine, cela faisait partie de l’entreprise de déstabilisation à l’égard de la Russie et de la Chine. La crise ukrainienne n’aurait pas eu lieu s’il n’y avait pas eu l’appui sans faille de la Russie au gouvernement syrien. Il s’agissait d’affaiblir Vladimir Poutine en le prenant à revers sur un terrain qui est quasiment intérieur pour la Russie, à savoir le front ukrainien, en se disant qu’il allait probablement lâcher Bachar el-Assad. Cela ne s’est pas produit, parce que c’est mal connaître Poutine et c’est aussi mal connaître Bachar el-Assad. Mais c’était bien cela le calcul.
Alors, faut-il craindre une guerre ?
Il faut y réfléchir à deux fois, Poutine est un joueur d’échecs et un judoka. Je pense qu’il a une ambition pour son pays – après tout, cela devrait être normal pour tous les chefs d’État – et l’Ukraine a un rôle tout-à-fait spécifique, puisque l’on dit que c’est la mère de toutes les Russies. Le premier État russe a été fondé il y a plus de dix siècles à Kiev, la capitale ukrainienne, et non pas à Moscou : donc, toucher à l’Ukraine, c’est toucher au cœur de la Russie. Les stratèges américains ont toujours dit qu’il fallait que l’Amérique arrive à détacher l’Ukraine de la Russie parce que c’était un enjeu stratégique essentiel. L’Ukraine n’est pas une colonie de la Russie. C’est une partie de l’espace culturel russe et une partie de ce que les Russes considèrent être leur cœur historique : donc, c’est intouchable ! La Russie est une grande puissance nucléaire, elle connaît un renouveau économique, démographique et militaire. C’est une puissance redoutable et ceux qui jouent à la guerre sont un peu inconscients.
Source: http://www.kernews.com/michel-raimbaud-ancien-ambassadeur-la-crise-ukrainienne-naurait-pas-eu-lieu-sil-ny-avait-pas-eu-lappui-sans-faille-de-la-russie-au-gouvernement-syrien/1895/

"Deutschland soll auf US-Linie gebracht werden, die auf militärische Eskalation gegen Russland hinausläuft" Ludwig Watzal

Sind Angela Merkels Tag als Bundeskanzlerin gezählt?
"Bundeskanzlerin Merkel scheint ... nicht länger gewillt zu sein, diese Chaosstrategie der USA zum Schaden Deutschlands und der EU zu unterstützen. Nach ihrer Rhetorik zu urteilen, scheint die deutsche Verteidigungsministerin dazu besser geeignet zu sein." L.W.
Ursula von der Leyen - Angela Merkel.
Haben die "Bilderberger" die Rechnung ohne Angela Merkel gemacht?
Die Geheimorganisation der "Bilderberger" tagte kürzlich in Österreich wie immer unter Ausschluss der Öffentlichkeit. Kaum dass Angela Merkel 2005 vor diesem Gremium ihr Debüt gegeben hatte, wurde sie einige Monate später Bundeskanzlerin der Bundesrepublik Deutschland. Am 11. Juni diesen Jahres, kurz nach dem G7-Treffen, wurde zu dieser verschworenen Gemeinschaft die deutsche Verteidigungsministerin Ursula von der Leyen hinzu gebeten. Heißt dass, dass sie in Kürze Merkels Nachfolgerin sein wird? Die "Bilderberger-Gipfel" tagen in Form einer "Geheimloge". Bei diesen Meetings trifft sich die westliche Crème de la Crème aus Politik, Wirtschaft, Medien und Geheimdiensten, um nicht nur das Führungspersonal auszuwählen, sondern auch die Richtlinien der globalen Politik des Westens festzulegen. 

Die USA sind schon seit langem mit der Bundeskanzlerin unzufrieden. Sie verhält sich nicht immer so, wie es ein US-Vasall tun sollte. So beteiligte sich Deutschland nicht an dem Aggressionskrieg des Westens gegen Libyen. Auch wehrt sich die Bundeskanzlerin gegen eine Stationierung von NATO-Kampftruppen in Osteuropa, weil dies gegen die NATO-Russland-Akte von 1997 verstoße. Den ehemaligen Warschauer-Pakt-Staaten kann es mit der Stationierung von US-Massenvernichtungswaffen auf ihren Territorien dagegen nicht schnell genug gehen. Sie nehmen den US-Putsch in der Ukraine zum Anlass, NATO-Kampftruppen unbedingt in ihren Ländern stationieren zu können. Als ehemalige besetzte Staaten sollte die politische Klasse dieser Länder jedoch wissen, dass sie sich damit US-Besatzungstruppen ins Land holen, wie es weiland die sowjetischen Truppen waren. Im Gegensatz zu diesen haben die USA noch nie ein von ihnen besetztes Land wieder freiwillig verlassen, es sei denn, sie wurden wie in Vietnam oder Iran hinausgeworfen. 

Dass Angela Merkel angezählt ist, zeigte schon die Ausspähung durch die NSA. Bei dieser Affäre hat die Kanzlerin und ihre politische Laienspielerschaar um den Ex-Kanzleramtschef Ronald Pofalla eine mehr als schlechte Figur gemacht. Diese Gruppe meinte zu glauben, das US-Imperium würde sich in einem Abkommen mit einem Vasall verpflichten, diesen nicht mehr auszuspähen (No-Spy-Abkommen). Die deutsche Delegation wurde von ihren US-Counterparts bei ihrem Washington-Besuch höflich aber bestimmt politisch in den Senkel gestellt. Auch die komplette Lahmlegung und das Ausspionieren von Daten des Deutschen Bundestages ist ein weiterer Schuss vor den Bug der Bundesregierung durch die USA. Deutschland soll auf US-Linie gebracht werden, die auf militärische Eskalation gegen Russland hinausläuft. 

Am 11. Juni hielt die US-Amazone und UN-Botschafter, Samantha Power, in Kiew ein Propaganda-Rede, in der klar wurde, wohin die Reise der USA in Sachen Ukraine und Russland gehen wird. Für die aggressive Menschrechtskriegerin handelt es sich in der Ukraine um eine "russische Aggression". Dass die USA den Umsturz zusammen mit neofaschistischen Kräften inszeniert haben, ließ sie unerwähnt. Wie denn die Realität in Powers Propaganda-Rede völlig ausgeblendet worden ist. Dass Neo-Nazis hinter den so genannten Maidan-Demonstranten standen, interessiert sie nicht. Geht es nach der Befürworterin einer " Bewaffnung der Menschenrechte". das heißt, Menschenrechte werden durch den Einsatz militärischer Gewalt "durchgesetzt" und "verwirklicht". Die Militarisierung dieser "humanitären Kriegführungsstrategie" wird "R2P" (Resonsibility to Protect = Schutzverantwortung) genannt. Selbst George Orwell konnte diese politische Perversität noch nicht antizipieren. Übrigens: Samantha Power wird von den kriegslüsternen Neokonservativen in den USA hoch geachtet, gehört sie doch zu den "liberalen Interventionisten", einer "liberalen" Spielart neokonservativer Kriegsbefürworter. 

Die Schaffung von Chaos im Nahen und Mittleren Osten ist das Ziel der US-Kriegspolitik. Afghanistan, Irak, Libyen, Syrien, Jemen, Somalia und zuletzt die Ukraine sind "leuchtende" Beispiele US-amerikanischen Demokratie-Exports. Allein die US- und NATO-Kriege in Afghanistan und Irak haben vier Millionen Menschen das Leben gekostet. Ein Land ins Chaos zu stürzen, ist die beste Strategie, um es ungehindert auszuplündern. Nur die USA fühlen sich berufen, in dieses selbstgeschaffene Chaos wieder Ordnung zu bringen, und dazu braucht das Imperium willfährige Vasallen-Staaten wie das Staatenkonglomerat der Europäischen Union (EU). Bundeskanzlerin Merkel scheint aber nicht länger gewillt zu sein, diese Chaosstrategie der USA zum Schaden Deutschlands und der EU zu unterstützen. Nach ihrer Rhetorik zu urteilen, scheint die deutsche Verteidigungsministerin dazu besser geeignet zu sein. 

Wie die "Deutsche Wirtschafts Nachrichten" melden, arbeiten die USA durch gezielte Indiskretion an der Demontage der Bundeskanzlerin. Von einer deutschen Außenpolitik zu sprechen, scheint im Lichte dieser Emails und des BND-Skandals verwegen. Merkel scheint der deutschen Öffentlichkeit Dinge vorgegaukelt zu haben, die sie niemals realisieren hätte können. Der so genannte BND-Skandal entpuppt sich so als eine weitere Niederlage für Angela Merkel. In den diversen Ausspähaktionen der NSA gegen die politische Klasse in Deutschland hat Merkel eine unglückliche Figur gemacht. Die Bespitzelung der gesamten politischen und wirtschaftlichen Elite sowie der Bevölkerung geht ungehindert weiter, ohne das die Bundesregierung dagegen etwas unternehmen könnte. 

Der Bundesnachrichtendienst (BND), der 1956 aus der "Organisation Gehlen" hervorging, war niemals ein eigenständiger deutscher Auslandsgeheimdienst, sondern seit seiner Gründung durch Reinhard Gehlen ein Wurmfortsatz der US-Geheimdienste. Folglich ist es auch nicht überraschend, dass er für die NSA oder die CIA Handlangerdienste leistet in Form der Ausspähung der deutschen Bevölkerung, der EU-Kommission oder selbst Frankreichs. Dass das Kanzleramt diese Organisation nicht im Griff hat oder haben will, überrascht nicht. Wie kann ein nicht-souveränes Land Gewalt über "seinen" Geheimdienst haben, der für den "Großen Bruder" Auftragsarbeit ausführt? 

Der NSA-Untersuchungsausschuss wird am Ende vielleicht zwei oder drei abweichende Berichte produzieren, wenn er denn mit seinen Untersuchungen bis zum Ende der Legislaturperiode fertig werden sollte. Dass bei diesem Untersuchungsausschuss irgendetwas politisch Verwertbares herauskommen wird, erscheint eher unwahrscheinlich, weil Deutschland selbst nach der Vereinigung immer noch nicht seine Souveränität erlangt hat. Wie kann ein nicht souveräner Staat sich gegenüber dem US-Imperium durchsetzen, das immer noch 42 000 Besatzungssoldaten in Deutschland stationiert hat? 

Ob Ursula von der Leyen wirklich Angela Merkel ersetzen wird, bleibt bei dem Machtinstinkt der Bundeskanzlerin mehr als fraglich, wenn man betrachtet, wie die Kanzlerin bisher alle politischen Konkurrenten "abserviert" hat. Auch die "Bilderberger" sind gegenüber Merkelmachtlos. am 20. juni 2015

U.N Leaving Israel's Children Rights Abuse Says Neda Institue

Neda Institute statement in criticizing U.N for leaving Israel off ‘List of Shame’ of child rights abusers

Violation of human rights in occupied territories– Item 7

Israel the Biggest Violator of Children's Rights
Israel killed more Palestinian civilians in 2014 than in any other year since the occupation of the West Bank and Gaza Strip began in 1967, a UN report has said.Israel’s activities in the Gaza Strip, West Bank and East Quds resulted in the deaths of more than 2,314 Palestinians and 17,125 injuries, compared with 39 deaths and 3,964 injuries in 2013, according to the annual report (March2015) by the UN Office for the Co-ordination of Humanitarian Affairs (OCHA). Moreover the 51-day conflict in Gaza in July 2014 killed 539 children and injured 2,956, most of them Palestinians now struggling with trauma and lifelong disabilities, according to the U.N. children's agency, UNICEF.
Despite these clear and credible reports, recently UN report catalogs Israeli attacks on Palestinian children but leaves Israel off ‘List of Shame’ of child rights abusers. But the shocking news was released that Secretary-General Ban Ki-moon decided to keep last year's list unchanged and he may not agree to put Israel in the list.
The list of children's rights violators was released just two months after a U.N. inquiry found that the Israeli military was responsible for seven attacks on U.N. schools in Gaza that were used as shelters during the 2014 war. As a NGO we believe that Secretary-General Ban Ki-moon has provided tacit approval for Israeli army to continue carrying out grave violations against children with impunity that is clearly against the United Nations Convention on the Rights of the Child (UNCRC).
Mr. President:
Our NGO delivers its big concern on the discriminatory approaches on Palestinian kids and we are concerned about reputation of U.N justice in this case.  






 

‘ISIS and Al Qaeda – working in tune with Western strategic designs’

EDITOR'S CHOICE | 03.06.2015 | 10:38
 
The West, despite its claims to be in a “War on Terror,” has been in alliance with the most sectarian forces to weaken Syria, Iran and Libya – rather than cooperating with them against ISIS, said Dan Glazebrook, political writer and journalist.
At least 38 policemen were killed and 46 people were wounded Monday in the Iraqi city of Samarra during a suicide attack. Islamic State (formerly ISIS/ISIL) fighters rammed a vehicle packed with explosives into an army warehouse. The dead and injured are mostly military personnel, including senior officials. Baghdad has launched its largest operation against Islamic State to date.
RT: Let's start with the suspected suicide attack involving the tank in Samarra. It’s a big setback, isn’t it? A lot of people died there...
Dan Glazebrook: Yes, it’s a disaster and we’re seeing these kind of things happening daily now. It has to be borne in mind that the role of ISIS, and these kind of death squads, have been very much in tune with the West’s overall strategic policy since 2011 when it decided to back all kind of sectarian forces as a tool of destabilizing independent states such as Syria and Libya. And this is now the consequences of that policy that we’re seeing unleashed on a daily basis.
RT: Do you buy into the idea that the US military hardware falling into the hands of Islamic State was part of a bigger plan?
DG: Well, ordnance does get left during warfare and during conflict and so on. Not every incident in this war is necessarily by design. But with that said, if you look at the fall of Mosul last June when these 2,300 Humvees were captured, this directly gave a massive boost to the forces of ISIS, who then stepped up their war against Syria. And don’t forget that the war in Syria up until that time, up until around June 2014, the initiative and the momentum had very much been with the Syrian government in 2014- after the fall of the Homs, and so on. So it did give a massive kind of shot in the arm, a massive boost to ISIS and its allies in the war against the Syrian government, which of course the West has been backing from the start. Certainly it fits in with the overall trajectory of British and US policy of backing these kinds of forces.
RT: The CIA director, John Brennan, said Sunday that he expects the fight with the Islamic State continue for a very long time. Do you foresee any change in US strategy, or getting more involved in the fight?
DG: I’m not sure we’re going to see a change of strategy. There is nothing that ISIS and Al Qaeda are doing that is really so out of tune with the West’s strategic designs. The West claims to be in a war against ISIS. But don’t forget, like I say, since 2011 the Western policy has been to ally with the most sectarian forces in order to overthrow the government of Syria, destroy the Syrian government, weaken Iran, weaken Libya, and so on.
And we’ve seen time after time whenever the tide is turned against these death squads, such as it did in Yemen, when Al Qaeda’s base (which has had a stronghold there for years and years) was being threatened by the Houthi rebels, the West and its allies in the region intervened on the side of Al Qaeda. And now reports are coming out that Al Qaeda has been the main beneficiary of Saudi bombing of Yemen.
We’ve seen with the fall of Ramadi, the US did very little to prevent the fall of Ramadi. It’s interesting that their key allies supposedly in the war against ISIS refused to cooperate with the real forces fighting against ISIS (the Syrian government, the Iranian government, the Shia militias, and so on). But even when their own key allies in Iraq against ISIS, the so-called Golden Division, US-trained Iraqi Special Forces, were calling for help and support and airstrikes they were not forthcoming, and that led to the fall of Ramadi.
RT: Could Baghdad forces on their own defeat the Islamic State or that or that is just a wishful thinking?
DG: It needs to be a region-wide alliance, and we are seeing the beginnings of this taking shape. We’ve seen the Egyptian government, for example, in another arena of the war against ISIS, or the war and support of ISIS, however you want to see it. We’ve seen Egyptian forces coming to the aid of the elected Libyan government that is threatened by ISIS and Al Qaeda-type forces, in Libya.
It is very interesting in that regard that Britain is now leading the cause in the EU for another war in Libya wrapped up in the so-called “war against people smuggling.” They are very likely to also give a kind of shot in the arm to ISIS and the death squads there, and most likely to counter the Egyptian influence in Libya that is a real threat to the death squads. So all over the entire region wherever the tide is turning against the death squads, and there is increasing regional cooperation (we’re seeing China offering support to Iraq and so on) against these forces. But every time the tide seems to be turning the West finds itself again coming to the aid on the wrong side of the war.
RT

Good News on The Horizon: Imperial Forces Being Put Pushed Aside Graudally

You Can't Win Them All: This Time US May Lose New Arms Race

News | 28.06.2015 | 00:26
Sputnik - The United States may lose a new arms race in today's multi-polar world, prominent US writer and publicist David A. Andelman says, stating that Washington is currently facing new multinational, multidimensional threats.
According to prominent American writer and publicist David A. Andelman, Washington is facing a new arms race, potentially far more threatening than during the Cold War.
"All that is history. But not the arms race. It's still going on, though in a vastly different, expanded and far more expensive format that's potentially even more threatening. And this time we may be losing," the writer stressed.
Mr. Andelman pointed out that this year Moscow demonstrated "three new, utterly modern armored vehicles" during its May 9 Victory Day parade. Russia is seeking to replenish its military arsenal that now includes new MIG-35 multirole fighters, advanced Pantsir mobile artillery weapon systems, Bora-class guided missile hovercrafts and stealth submarines.
"In all, we are looking at a potent 845,000 troops, 22,550 tanks, and 1,399 combat aircraft, with 70% of Russian equipment defined as "modern" in the next five years," the publicist underscored.
Meanwhile, China is modernizing its People's Liberation Army at a steady pace. China's defense expenditures now amount "for more than a third" of all military spending in Asia. Furthermore, Beijing has already launched its first aircraft carrier Liaoning, a renovated 302-meter former Soviet vessel, and is currently building a second one, which is expected to be far more advanced.
According to the writer, China's military spending last year amounted to $216 billion, while Russia had spent only $84.5 billion. In contrast, the United States annually pours more than $600 billion in its military sector.
However, Mr. Andelman remarked that "such numbers don't tell the full story."
"Today's new arms race is not just with Russia, but an integral part of today's multipolar world. And certainly it's more expensive, in part because of the multinational, multidimensional threats…  At the same time, we must not be distracted from our greatest, potentially existential, threats: terrorism and its special warfare requirements, and the cyber arms race," he stressed, insisting that China and Russia are matching the US here "step for step."
The author believes that Washington should spend more if it wants to come out on top, slamming the Senate for voting down an essential appropriations bill, after it approved a $600 billion defense budget.
At the same time Mr. Andelman pointed to the Pentagon's decision to supply heavy offensive weapons to the Baltic states and Poland, "all NATO members directly on Russia's frontiers."
"None of this should suggest that any armed conflict is imminent. But it's quite clear that on multiple fronts this time, we're in a new arms race, with no clear winner," he highlighted.
Tags: Missile defense Russia